Vos sorties de Juillet 2024

 a toutes vos sorties de ce beau mois de juillet 

C'est les vacances alors tous a la pêche 

Bonjour,

Première sortie hier pour le mois de Juillet ! J'étais motivé et la météo était agréable : temps couvert avec de belles éclaircies et petit vent se calmant sur la fin de l'après-midi.
Une pêche de 5h45 à 16h, mais malgré mon obstination les poissons n'étaient pas très mordeurs ! La preuve, c'est le nombre de barques présentes : 4 au maxi sur un lac de 400 ha 

Résultats : une seule touche avec la prise d'un brochet de 75 cm à 11 h du matin. Je ferai aussi 4 petites perches au jig et un brocheton avec un Deracoup.

Je prépare le matériel pour Lundi et on va prier ce week-end pour des poissons mordeurs 

Etait-ce hier ?

Je pêchais sur mon lac de retenue, hier. Pêche étrange. En quittant le ponton, beaucoup d'échos. Je lance une TP de 3.5 g habillée de plume  et précédée d'un micro anguillon de 35 mm, ci dessous pointé en rose. On est dans 5-6 mètres d'eau.



Touche au second lancer et je ramène une perchette sur le LS et un sandre sur la TP ! Sandre non maillé qui retourne nager en un clin d'œil. 20 secondes dehors au maxi. 

Ca va être la grosse teuf ! Car selon un prévisionniste (1 max 2 pêche), la journée est 5 étoiles ... Mais ensuite, j'ai vraiment du mal à prendre des perchettes de 6-7 cm sur mon coup favori du moment, pour en faire mes vifs. J'en obtiendrai une ou deux à l'asticot manié.

Je m'éloigne tenter un autre poste, j'arrive péniblement à y capturer une  perchette. La première va sur mon montage au mort-vif, et me rapporte un brochet de 50 centimètres qui ne réussit pas à couper le 35 centièmes !  Malgré l'hameçon simple, il est salement blessé, il me faut longtemps pour l' extraire, et il me refusera de reprendre la route ensuite. Un effet mains gauches peut-être, les release sont toujours successful dans les vidéos...

Puis c'est le désert au sondeur, je vais pêcher vers 10-11 mètres de fond, il y a du monde, avec deux vifs, sans succès.

Je finis la journée dans 4-5 mètres, une zone où les carpes m'avaient volé deux cannes l'an dernier, où elles étaient il y a deux jours, et que j'ai amorcé de quelque bouillettes en début d'après-midi. Peu de bouillons, rien sous le bateau, et impossible de changer mes vifs qui ne le sont plus après des remontées de 10 mètres ... 

Une bouillette pour les carpes, un gros ver à fond aussi pour qui voudra, deux poissons malheureusement morts... Impossible de tenter la moindre perchette, la cata, et zéro touche.



le demi-sandre

Les semaines se suivent mais ne se ressemblent pas
Bilan de de cette semaine 5 sorties
2 Touches a la con que je décrocherai trés vite au PP
Aucun poisson mis au sec donc 5 capots 

Mes sorties du week-end : 
Samedi matin 5h30, 3ème lancé, un brochet de 87 cm dans 2 mètre d'eau a 50 cm du Bord, j'ai pu voir le poisson attaqué mon leurre, quelle adrénaline !!! plus un petit de 45 cm env. et 3 petites perches aussi grosses que le leurre. 8h je change de plan d'eau, 4ème lancé une perche de 43 cm, puis un texto obligé de rentrer en urgence...
Ce matin, dimanche = calme plat, capot !!!

Je me pose la question si une pêche difficile comme en ce moment n'est pas du a la frayé du poisson blanc qui n'est pas terminée 
Car vu la quantité de petits alevins qu'il y a sur les bordures 
Et comme on est toujours pressé 

Semaine un peu moins mauvaise 
5 sorties dont 3 capots mais aussi
 de 50 cm pris en rivière au PP dans 3 mètres d'eau
 de 80 cm pris en rivière au PP dans 5 mètres d'eau
     Aspe 73 cm pris en rivière dans 1 mètre d'eau au raz du bord

Mes sorties du Week end : Samedi matin, un brochet d'au moins 15 cm sur un leurre de 8 cm et deux perches plus grosses que le brochet, mais pas plus de 20 cm 
Ce matin un Brochet de 45 cm env. Tous ça dans 2 mètres d'eau tout contre la berge dans les herbiers.

Bon début de semaine avec
 de 85 cm au PP dans 5 mètres d'eau en rivière
 de 55 cm au PN dans 1 mètres d'eau en rivière 
    aspe de 60 cm au PN dans 1 mètres d'eau en rivière 


Sur 6 sorties donc 3 capots 
Mais si vous avez une touche ne la manquez pas car cela sera la seule certainement 

Je remarque Silou, que tu n'annonces jamais de prise au leurre souple. Tu n'utilises jamais ?

Pour ma part, une ou deux perches de 25 cm ... et des petiotes elles mêmes peu nombreuses. les perches ont mordu un temps aux plumes et aux leurres, et sont repassés sur le vivant.

Probablement sous l'effet des pluies abondantes, elles ont un peu quitté la baie qui se trouve dépeuplée, pour aller sur des zones où des émissaires apportent de la bouffe. Enfin j'imagine cela.

White hunter a écrit:Je remarque Silou, que tu n'annonces jamais de prise au leurre souple. Tu n'utilises jamais ?

Pour ma part, une ou deux perches de 25 cm ... et des petiotes elles mêmes peu nombreuses. les perches ont mordu un temps aux plumes et aux leurres, et sont repassés sur le vivant.

Probablement sous l'effet des pluies abondantes, elles ont un peu quitté la baie qui se trouve dépeuplée, pour aller sur des zones où des émissaires apportent de la bouffe. Enfin j'imagine cela.

Car pour le moment je n'utilise plus de LS classique
Juste des octopus derrière mon PP octopus que j'ai trouvé a prix canon
J'accorde plus d'importance a ma façon d'animer qu'aux leurres
Voila les explications

J'ai parcouru la route inverse concernant les perches. Fini les cranks et autres rapala en ce moment. Mais c'est le vivant qui fonctionne le moins mal ...

Semaine passée quand sa veut pas , bien sa veut pas 
7 sorties et juste 
 de 85 cm prit en rivière dans 2 métres d'eau au PN

Le reste de la semaine peu de touche et en plus tout sera manqué , décroché , cassé la misère quoi et moi sur les nerfs a en bouffer la casquette 

Le fruit est dans le ver ! Et pas l'inverse ! Ce renversement sémantique est connu des seuls pêcheurs.

Et je vous (em)mène aussi en bateau, casquette vissée sur le crâne, pipe à la bouche et main de fer sur la roue, tandis que le mousse devrait astiquer le pont. Nous partons pour une longue pêche hauturière, et dans ces occurrences, un mousse a bien des usages.

Après nombre de retours cale vide, l'armement est exsangue : peu de carburant, à peine d'appâts, guère de biscuit et pas une goutte de rhum. Le mousse est mon dernier luxe. La pêche dans les quarantièmes a bien périclité, il faut le dire : la surpêche, le réchauffement climatique, les spoutniks, et tout le reste. Nous sommes sur le 45 ème parallèle ou presque, sans réaliser la pêche espérée, poussés par la longue houle d'ouest.

Je renonce à la palangre de 300 hameçons sur ses dix kilomètres de nylon, lui préférant ma célèbre palangre-à-un-coup-mais-le-bon et son montage au mort-vivant. Le mousse a d'ailleurs capturé un appât avec un ver. Il ne se rend pas compte qu'il a fait un profit de 4000 %, passant de 1 gramme de ver à 40 grammes de perchette.  Et c'est heureux : si on instruisait les mousses, on se retrouverait vite ficelé à fond de cale.

Toujours au ras du 45 ème parallèle, près de la presqu'île de la Coste de Renac -non encore cartographiée- là où le Hollandais Volant serait rené, ou arthur, et en tout cas réapparu,  je laisse filer la perchette au bout de son fil. En manque de rhum, j'allais ... quand je vois le fil se dérouler sur la bobine du moulinet.

Branlecas de bombat  !!!  crié-je distinctement. Mille ras-bords ! Mille d'accord ! A la douzième seconde – la pêche est une science-  je ferre avec en retour une étrange bizarritude dans la sensation. Pas l'effet souche du gros poisson, pas l'effet bouhhhh ! du raté total non plus. Y'a ben queq'chose,  mais qu'est pas komifo …

En fait, le poisson a attaqué le vif en venant sous le bateau et est reparti avec sa proie vers le large, en contournant mon amarrage, lequel offre un amortissement à toute chose : au ferrage, aux sensations, à l'espoir aussi, car quid du ferrage ? J'engueule le mousse et le destin qui ne mouftent pas. Bientôt un presque hénaurme truc passe, à peine distingué, mais je peux rêver d'un sandre record. Nous libérons la ligne par une habile manœuvre et le poisson donne toute sa mesure, faisant crier le moulinet. Un brochet, vois-je au second passage. Zut !

C'est un sandre que j'espérais et pour pour ce bestiau méfiant comme un complotiste, la ligne est fine et en nylon. Il va couper ma ligne, ce salaud à grandes dents, cet affameur du pauvre pêcheur, ce bachi-bouzouk des eaux douces. J'admoneste le mousse qui n'y est pour rien, et qui présente l'épuisette à la perfection. Et la bête veut bien y entrer sans trop barguigner.



Ah on est bien … Je promeus aussitôt le mousse au rang de quartier-maître, et nous voguons vers le port, fortune faite. Du ver au brochet, un armement qui fait  de 400 000 % de profit au moins ! Mieux que la flibuste ! 


Avec ma douce dans le rôle du mousse, avec le 45ème parallèle nord dans le rôle du 45 ème sud, avec les vagues des embarcations des skieurs nautiques dans le rôle de la longue  houle d'ouest ...