Nouvel essai de technique batarde: le stick au pain.
Sam 26 Juil 2008 - 22:32
Un petit clic ici pour voir l'original sur mon site.
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Vous connaissez la pêche au pain ?
Si oui, vous êtes conquis, sans aucun doute !
Si non, vous passez à coté de LA pêche par excellence la plus polyvalente en terme de type d'eau, de poissons recherchés et de saison de pêche et une des plus productives en toutes circonstances. Alors qu'attendez vous ? Allez acheter deux ou trois baguettes à la superette du coin et faites comme moi !
Nous sommes le 26 juillet 2008, il est 16h00. La chaleur est étouffante, et ça sent l'orage. J'ai acheté la veille trois baguettes de pain industriel en prévision d'un pêche ou deux ce week end. Etant donné la chaleur je décide d'aller pêcher dans le courant, là où l'oxygénation suffisante de l'eau n'a pas coupé l'appétit des poissons. Ce sera donc Magny, à l'aval du vieux pont. Je commencerai 40 m à l'aval tout d'abord et en fin de partie de pêche d'irai faire une essai dans le bouillon directement sous le pont.
Je prépare mon pain d'amorçage très simplement comme d'habitude. Je coupe mes baguettes en morceaux dans un seau, je couvre d'eau et je laisse tremper. Quand c'est tout mou je pétris vigoureusement, ensuite je passe la bouillie et je la presse pour évacuer l'eau.
Voilà, mon pain est prêt. Je ne prends avec moi que du pain Chaillou et en avant ! Les chub n'ont qu'à bien se tenir. C'est en effet ma cible priviliégiée pour cette pêche: du bon gros chevesne bien vigoureux et bien méfiant.
J'arrive sur les lieux à 17h00 et il y a de l'orage dans l'air. Je suis tout de suite frappé par le niveau d'eau qui est extrêmement bas. Je vais pêcher dans 50 cm d'eau... et encore, entre les blocs de pierre. Ma pêche se fara au stick avec mon nouveau matos. Ma bobine est plus remplie que dans mes premiers essais, et effectivement, je me rends compte que le fil se dévide bien mieux! C'était donc ça mon problème la dernière fois. Mon matériel est on ne peut plus simple: canne anglaise de 3,90 m de puissance 5/15g, moulinet capoté chargé de 16°°, stick de 1,75g, plombée en deux partie, la partie haute étant collée au flotteur, bas de ligne en 12°° et hameçon n°16 VMC spécial anglaise.
J'arrive sur les lieux et tout de suite j'amorce toutes les minutes une noix de pain pétri. Je commence ma pêche et je touche très vite, comme je m'y attendais, un poisson très lourd mais peu vigoureux, j'ai du mal à l'identifier. Je n'ai pas monté l'épuisette et je vois arriver en surface un beau meunier:
Remarquez sur la photo la faiblesse du fond.
Alors que je pense le cueillir à la main sans problème, le contact avec mes doigts boudinnés le réveille et c'est là qu'il me fait un super démarrage jusque sur la rive d'en face, comme s'il ne s'était rendu compte qu'il était pris qu'après avoir senti le contact d'une main d'humain... Il me fera le même coup encore deux fois et je fini par le mettre au sec non sans mal:
Voilà un beau poisson de trois livre qui repart à l'eau. Je les trouve vraiment beaux ces chevesnes, des écailles argentées avec des reflets verts et dorés par endroits, des nageoires noires pour certaines, d'autres grises tendant vers le rouge... un vrai régal pour les yeux.
Comme j'ai déjà pu l'expliquer très souvent dans d'autres articles, la pêche en Seille est assez frustrante, car les poissons répondent vite mais ensuite c'est la croix et la banière pour les retrouver. Et c'esg exactement ce qui va se passer aujourd'hui. Je continue mon amorçage mais je ne prends plus de chevesnes. Je fais par contre quelques ablettes et des plaquettes d'une centaine de gramme:
En insistant encore, je prends un joli gardon de 200g environ aux couleurs absolument immaculées.
Regardez un peu ces écailles argentées, en bon ordre, qui tendent vers le vert bouteille et le noir sur le dos, l'oeil orange avec la pupille noire, les nageoires oranges foncé... franchement c'est beau ! Les scalaires et autres discus sont pas beaucoup mieux. Bon, revenons sur Terre... Les chevesnes sont plus là, l'amorçage au rappel ne les fait pas venir sur le coup. Je décide alors de changer de coin pour tenter de faire un autre chevaine quand même. Je remonte donc de 30 m pour me mettre directement à l'aval du pont, dans le bouillon. Mais avant ça je peux faire une peu mumuse avec ma nouvelle machette afin de déblayer les orties de 1,50 m de haut, c'est bien pratique tout ça !
Quelques vues du coin, certains reconnaitrons sans doute (hein Eric?]:
Le stick ne tient pas très bien dans le courant, mais ça ira, je vais rester une demie-heure et je remballe. Comme sur mon premier poste, j'ai une très belle touche rapidement et c'est du sérieux! Le poisson part sur la rive d'en face, j'arrive tout juste à le dévier d'un herbier et d'une grosse pierre qu'il avait pris pour cible. Cette fois-ci l'épuisette est dans l'eau et j'arrive à le mettre sur le pré au dexième essai après un beau rush de fuite lors du premier.
Il est une peu plus gros que le premier que j'ai pris, mais il n'atteint pas les deux kilos, je dirais 1,750 kg:
Un beau poisson! En pleine forme! ... qui repart dans son élément aussi sec.
En insistant sur ce poste, je prendrai encore une ablette et quelques plaquettes et un décroché sur un poisson plus beau.
En conclusion, on peut dire que la pêche au pain est tout à fait adaptable à la pêche au stick et que les chevaines répondent positivement, voir même mieux en ce qui me concerne qu'en les recherchant à l'agrainage d'asticots. Je suis tout de même frustré de ne pas réussir à tenir les chevesnes sur le coup, j'en prends un et puis terminé. La méfiance légendaire de ce poisson, la faiblesse des fonds, la largeur faible de la rivière font que la première capture entraine la fuite du banc, quoi qu'on fasse. J'avais déjà pêché le chevesne au pain, en novembre de l'année dernière (ici), là aussi j'avais du changer de poste pour aller les chercher. D'ailleurs, il me vient une idére: pourquoi ne pas employer cette technique pour aller chercher le poisson, en faisant une dizaine de postes dans l'après-midi. Voilà qui est à tester ! J'ai en effet pris les deux chub dans les cinq premières minutes d'agrainage... En tous cas, pour l'instant le pain à l'avantage sur l'asticot dans cette pêche. Le petit inconvénient est cependant qu'à l'asticot j'ai quand même une chance de toucher du barbeau, ce qui n'est pas le cas du pain a priori.
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Vous connaissez la pêche au pain ?
Si oui, vous êtes conquis, sans aucun doute !
Si non, vous passez à coté de LA pêche par excellence la plus polyvalente en terme de type d'eau, de poissons recherchés et de saison de pêche et une des plus productives en toutes circonstances. Alors qu'attendez vous ? Allez acheter deux ou trois baguettes à la superette du coin et faites comme moi !
Nous sommes le 26 juillet 2008, il est 16h00. La chaleur est étouffante, et ça sent l'orage. J'ai acheté la veille trois baguettes de pain industriel en prévision d'un pêche ou deux ce week end. Etant donné la chaleur je décide d'aller pêcher dans le courant, là où l'oxygénation suffisante de l'eau n'a pas coupé l'appétit des poissons. Ce sera donc Magny, à l'aval du vieux pont. Je commencerai 40 m à l'aval tout d'abord et en fin de partie de pêche d'irai faire une essai dans le bouillon directement sous le pont.
Je prépare mon pain d'amorçage très simplement comme d'habitude. Je coupe mes baguettes en morceaux dans un seau, je couvre d'eau et je laisse tremper. Quand c'est tout mou je pétris vigoureusement, ensuite je passe la bouillie et je la presse pour évacuer l'eau.
Voilà, mon pain est prêt. Je ne prends avec moi que du pain Chaillou et en avant ! Les chub n'ont qu'à bien se tenir. C'est en effet ma cible priviliégiée pour cette pêche: du bon gros chevesne bien vigoureux et bien méfiant.
J'arrive sur les lieux à 17h00 et il y a de l'orage dans l'air. Je suis tout de suite frappé par le niveau d'eau qui est extrêmement bas. Je vais pêcher dans 50 cm d'eau... et encore, entre les blocs de pierre. Ma pêche se fara au stick avec mon nouveau matos. Ma bobine est plus remplie que dans mes premiers essais, et effectivement, je me rends compte que le fil se dévide bien mieux! C'était donc ça mon problème la dernière fois. Mon matériel est on ne peut plus simple: canne anglaise de 3,90 m de puissance 5/15g, moulinet capoté chargé de 16°°, stick de 1,75g, plombée en deux partie, la partie haute étant collée au flotteur, bas de ligne en 12°° et hameçon n°16 VMC spécial anglaise.
J'arrive sur les lieux et tout de suite j'amorce toutes les minutes une noix de pain pétri. Je commence ma pêche et je touche très vite, comme je m'y attendais, un poisson très lourd mais peu vigoureux, j'ai du mal à l'identifier. Je n'ai pas monté l'épuisette et je vois arriver en surface un beau meunier:
Remarquez sur la photo la faiblesse du fond.
Alors que je pense le cueillir à la main sans problème, le contact avec mes doigts boudinnés le réveille et c'est là qu'il me fait un super démarrage jusque sur la rive d'en face, comme s'il ne s'était rendu compte qu'il était pris qu'après avoir senti le contact d'une main d'humain... Il me fera le même coup encore deux fois et je fini par le mettre au sec non sans mal:
Voilà un beau poisson de trois livre qui repart à l'eau. Je les trouve vraiment beaux ces chevesnes, des écailles argentées avec des reflets verts et dorés par endroits, des nageoires noires pour certaines, d'autres grises tendant vers le rouge... un vrai régal pour les yeux.
Comme j'ai déjà pu l'expliquer très souvent dans d'autres articles, la pêche en Seille est assez frustrante, car les poissons répondent vite mais ensuite c'est la croix et la banière pour les retrouver. Et c'esg exactement ce qui va se passer aujourd'hui. Je continue mon amorçage mais je ne prends plus de chevesnes. Je fais par contre quelques ablettes et des plaquettes d'une centaine de gramme:
En insistant encore, je prends un joli gardon de 200g environ aux couleurs absolument immaculées.
Regardez un peu ces écailles argentées, en bon ordre, qui tendent vers le vert bouteille et le noir sur le dos, l'oeil orange avec la pupille noire, les nageoires oranges foncé... franchement c'est beau ! Les scalaires et autres discus sont pas beaucoup mieux. Bon, revenons sur Terre... Les chevesnes sont plus là, l'amorçage au rappel ne les fait pas venir sur le coup. Je décide alors de changer de coin pour tenter de faire un autre chevaine quand même. Je remonte donc de 30 m pour me mettre directement à l'aval du pont, dans le bouillon. Mais avant ça je peux faire une peu mumuse avec ma nouvelle machette afin de déblayer les orties de 1,50 m de haut, c'est bien pratique tout ça !
Quelques vues du coin, certains reconnaitrons sans doute (hein Eric?]:
Le stick ne tient pas très bien dans le courant, mais ça ira, je vais rester une demie-heure et je remballe. Comme sur mon premier poste, j'ai une très belle touche rapidement et c'est du sérieux! Le poisson part sur la rive d'en face, j'arrive tout juste à le dévier d'un herbier et d'une grosse pierre qu'il avait pris pour cible. Cette fois-ci l'épuisette est dans l'eau et j'arrive à le mettre sur le pré au dexième essai après un beau rush de fuite lors du premier.
Il est une peu plus gros que le premier que j'ai pris, mais il n'atteint pas les deux kilos, je dirais 1,750 kg:
Un beau poisson! En pleine forme! ... qui repart dans son élément aussi sec.
En insistant sur ce poste, je prendrai encore une ablette et quelques plaquettes et un décroché sur un poisson plus beau.
En conclusion, on peut dire que la pêche au pain est tout à fait adaptable à la pêche au stick et que les chevaines répondent positivement, voir même mieux en ce qui me concerne qu'en les recherchant à l'agrainage d'asticots. Je suis tout de même frustré de ne pas réussir à tenir les chevesnes sur le coup, j'en prends un et puis terminé. La méfiance légendaire de ce poisson, la faiblesse des fonds, la largeur faible de la rivière font que la première capture entraine la fuite du banc, quoi qu'on fasse. J'avais déjà pêché le chevesne au pain, en novembre de l'année dernière (ici), là aussi j'avais du changer de poste pour aller les chercher. D'ailleurs, il me vient une idére: pourquoi ne pas employer cette technique pour aller chercher le poisson, en faisant une dizaine de postes dans l'après-midi. Voilà qui est à tester ! J'ai en effet pris les deux chub dans les cinq premières minutes d'agrainage... En tous cas, pour l'instant le pain à l'avantage sur l'asticot dans cette pêche. Le petit inconvénient est cependant qu'à l'asticot j'ai quand même une chance de toucher du barbeau, ce qui n'est pas le cas du pain a priori.
- EricPêcheur de lacs et rivières
Re: Nouvel essai de technique batarde: le stick au pain.
Sam 26 Juil 2008 - 22:44
Encore une sympathique petite partie de pêche qui se termine avec du fish en bonne santé apparente
Oui ce poste me dit quelquechose il se peux que tes cheyennes du coin ont goûtés à mes petits crank
Il y a un topic consacré à la pêche au pain ouvert par Pêcheuraucoup,du moins la préparation de celui-ci...en fin de saison notement l'hiver lorsque les eaux sont claires celà fonctionne plutôt bien.
@+Eric
Oui ce poste me dit quelquechose il se peux que tes cheyennes du coin ont goûtés à mes petits crank
Il y a un topic consacré à la pêche au pain ouvert par Pêcheuraucoup,du moins la préparation de celui-ci...en fin de saison notement l'hiver lorsque les eaux sont claires celà fonctionne plutôt bien.
@+Eric
- SalomonBrochet en étang
Re: Nouvel essai de technique batarde: le stick au pain.
Sam 26 Juil 2008 - 23:40
salut cortex je c pas si tu a vu mais je tes envoyer un message en mp!!!!
- jean-miModérateur
Re: Nouvel essai de technique batarde: le stick au pain.
Dim 27 Juil 2008 - 9:22
salut cortex, je me pose une question concernant la "fuite" de tes poissons après une paire de prises.
On dit, nous pécheurs de carnassiers que si tu prends une perche sortie d'un banc et que tu la remets à l'eau, elle s'en va rejoindre son banc et le fait partir.
Pour remédier à ça, on stoque les perches dans une filoche, un filet... le temps d'etrre sûr qu'il n'y en n'a pas d'autres qui peuvent prendre nos leurres.
Tout ça pour dire qu'il en est peut etre de meme avec le chevesne qui repart en entrainant dans son sillage les autres poissons avec un comportement stressé qu'il communiquerait aux habitués du lieu.
Essaye peut etre de les conserver et de remettre à l'eau seulement la partie terminée.
Sinon, désolé mais je ne vois pas.
On dit, nous pécheurs de carnassiers que si tu prends une perche sortie d'un banc et que tu la remets à l'eau, elle s'en va rejoindre son banc et le fait partir.
Pour remédier à ça, on stoque les perches dans une filoche, un filet... le temps d'etrre sûr qu'il n'y en n'a pas d'autres qui peuvent prendre nos leurres.
Tout ça pour dire qu'il en est peut etre de meme avec le chevesne qui repart en entrainant dans son sillage les autres poissons avec un comportement stressé qu'il communiquerait aux habitués du lieu.
Essaye peut etre de les conserver et de remettre à l'eau seulement la partie terminée.
Sinon, désolé mais je ne vois pas.
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ch'uis tombé dans la rivière qd j'étais p'tit, depuis j'y retourne dés qu'je peux
jean-mi
- EricPêcheur de lacs et rivières
Re: Nouvel essai de technique batarde: le stick au pain.
Dim 27 Juil 2008 - 12:36
Je pense que c'est ce qu'il fait de temps en temps...
La profondeur de l'eau est très faible par endroits,ce qui explique que les poissons ont tôt fait d'être dérangés et de déserter le coup
Dans ces genres de coins il faut pratiquer une pêche itinérante,il n'y a que quelques exenplaires dans une coulée,les Anglais pratiquant au stick l'on bien compris
@+Eric
La profondeur de l'eau est très faible par endroits,ce qui explique que les poissons ont tôt fait d'être dérangés et de déserter le coup
Dans ces genres de coins il faut pratiquer une pêche itinérante,il n'y a que quelques exenplaires dans une coulée,les Anglais pratiquant au stick l'on bien compris
@+Eric
- jolisandrePêcheur de lacs et rivières
Re: Nouvel essai de technique batarde: le stick au pain.
Dim 27 Juil 2008 - 16:46
Eric a écrit:Je pense que c'est ce qu'il fait de temps en temps...
La profondeur de l'eau est très faible par endroits,ce qui explique que les poissons ont tôt fait d'être dérangés et de déserter le coup
Dans ces genres de coins il faut pratiquer une pêche itinérante,il n'y a que quelques exenplaires dans une coulée,les Anglais pratiquant au stick l'on bien compris
@+Eric
En fait, la Seille - que ce soit à sa source, vers Dieuze, ou plus bas vers Moyen-Vic ou Vic-sur-Seille - a un peu près le même gabarit et profil, et les poissons le même comportement : on en prend vite et beaucoup au début et puis ils s'enfuient ou boudent rapidement les esches. Et c'est vrai du coup que la pêche itinérante s'impose dans ce cas...
Je ne connais pas cette rivière sur son parcours messin (à part un peu à Marly) : y a-t-il beaucoup de trous ou de zones profondes sinon (> à 1m ou 1m50) ?
Bien joué en tout cas Cortex (belles photos et beau récit de plus)
Re: Nouvel essai de technique batarde: le stick au pain.
Dim 27 Juil 2008 - 18:56
Je prépare un nouvel article sur ma pêche de cet après-midi où là encore j'ai été pêcher au pain avec un stick, à poste fixe, mais cette fois-ci à Marly, zone où le courant est plus faible.
Vous l'avez dors et déjà deviné: même chose, les poissons ont été pris dans la première heure et demie et ensuite rien de chez rien ! Par contre les carnassiers étaient de sortie ! Des chasses de perches et un gros bec qui chassait 50m en aval ! A moins que ce ne soit des carpes qui faisaient des bons.
Donc la prochaine fois, ce sera une pêche à roder avec 20-30 minutes par spot et juste quatre ou cinq noix de pain pétri pour amorcer.
Jolisandre: de mon coté, il y a quelques trous:
- sous le barrage de Marly, mais là c'est la foire d'empoigne pour avoir un spot, surtout si t'es pas un "habitué", donc je n'y vais jamais.
- sur les 500 m de linéaire au dessus du pont de chemin de fer à Magny, là le fond est un peu plus important par endroit (1m - 1,20m) mais maintenant les poissons chat sont remontés jusque là, il faut donc banir asticots et maïs (mais le pain c'est ok)
- au dessus du moulin de Many, la profondeur atteint les 1,5m mais le courant est très faible et l'accès est difficle (il faut marcher longtemps si tu veux pas être sur la rive avec tous les promeneurs).
@+
PS: Dans mon live, j'ai pris une photo que je tiens dors et déjà à dédicacer à Eric.
Vous l'avez dors et déjà deviné: même chose, les poissons ont été pris dans la première heure et demie et ensuite rien de chez rien ! Par contre les carnassiers étaient de sortie ! Des chasses de perches et un gros bec qui chassait 50m en aval ! A moins que ce ne soit des carpes qui faisaient des bons.
Donc la prochaine fois, ce sera une pêche à roder avec 20-30 minutes par spot et juste quatre ou cinq noix de pain pétri pour amorcer.
Jolisandre: de mon coté, il y a quelques trous:
- sous le barrage de Marly, mais là c'est la foire d'empoigne pour avoir un spot, surtout si t'es pas un "habitué", donc je n'y vais jamais.
- sur les 500 m de linéaire au dessus du pont de chemin de fer à Magny, là le fond est un peu plus important par endroit (1m - 1,20m) mais maintenant les poissons chat sont remontés jusque là, il faut donc banir asticots et maïs (mais le pain c'est ok)
- au dessus du moulin de Many, la profondeur atteint les 1,5m mais le courant est très faible et l'accès est difficle (il faut marcher longtemps si tu veux pas être sur la rive avec tous les promeneurs).
@+
PS: Dans mon live, j'ai pris une photo que je tiens dors et déjà à dédicacer à Eric.
- EricPêcheur de lacs et rivières
Re: Nouvel essai de technique batarde: le stick au pain.
Dim 27 Juil 2008 - 23:07
Cortex a écrit:
PS: Dans mon live, j'ai pris une photo que je tiens dors et déjà à dédicacer à Eric.
Ohhh quelle touchante attention
Il doit bien exister quelques trous dans la Seille dans la traversée de Metz...because bombardements mais je suis incapable de vous les localiser je ne connait que la fosse de l'embouchure
@+Eric
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